Abstraction
Auteur : Jan Kalab
Date : Juin 2015 (photos prises en 08/2015)
Adresse : Grande rue Mario Roustan - Sète (34)
Jan Kalab
Site officiel
Depuis 2008, la ville de Sète accueille le festival K-Live, un concept original, pluridisciplinaire, un festival qui crée un pont entre arts urbains, arts plastiques et concerts de musiques actuelles.
Chaque année, un ou plusieurs artistes sont invités à prendre possession de murs de la ville qui devient ainsi au fur et à mesure un véritable musée à ciel ouvert (MACO).
En 2015, Stew, Bault et Jan Kalab sont les invités.
Jan Kalab vient du graffiti, où il a fait ses armes sous les noms de « Cakes » et de « Point ». Après une année d’école d’architecture, Jan Kalab a fait des études d’art dans la capitale tchèque, puis il est parti plusieurs mois au Brésil.
Du graffiti « classique », il est progressivement passé aux lettres sculptées en 3D qui l’amènent aux formes géométriques qu’il représente actuellement.
Jan Kalab qualifie cette évolution de la manière suivante « Je me suis mis à me concentrer sur les interactions des éléments, les intersections, plutôt que sur les lettres elles-mêmes. Pour moi, ça a été la porte d’accès vers le langage de l’abstraction. ».
On voit ici une belle illustration de fin de trajectoire. Toujours compliqué à comprendre…
Chaque année, un ou plusieurs artistes sont invités à prendre possession de murs de la ville qui devient ainsi au fur et à mesure un véritable musée à ciel ouvert (MACO).
En 2015, Stew, Bault et Jan Kalab sont les invités.
Jan Kalab vient du graffiti, où il a fait ses armes sous les noms de « Cakes » et de « Point ». Après une année d’école d’architecture, Jan Kalab a fait des études d’art dans la capitale tchèque, puis il est parti plusieurs mois au Brésil.
Du graffiti « classique », il est progressivement passé aux lettres sculptées en 3D qui l’amènent aux formes géométriques qu’il représente actuellement.
Jan Kalab qualifie cette évolution de la manière suivante « Je me suis mis à me concentrer sur les interactions des éléments, les intersections, plutôt que sur les lettres elles-mêmes. Pour moi, ça a été la porte d’accès vers le langage de l’abstraction. ».
On voit ici une belle illustration de fin de trajectoire. Toujours compliqué à comprendre…
