C’est la troisième réalisation de Dourone sur ce mur du 10ème arrondissement. Il semble en faire un par an depuis 2013, et on préfèrerait qu’il revienne plus souvent. En effet, malgré la qualité des œuvres qu’il nous laisse ici, elles n’arrivent pas à passer une année sans dégradations importantes. Le scénario est toujours le même : l’œuvre est respectée quelques semaines, voire quelques mois, puis des petits graffitis viennent la souiller, les graffitis deviennent de plus en plus nombreux jusqu’à ce que les services de la ville viennent siffler la fin du match en passant un coup de badigeon. Et puis Dourone revient…
Pour cette année, il nous propose une pièce peut-être un peu moins fine dans sa réalisation, mais qui reste dans la lignée de la précédente : l’exploration de notre cerveau. Ici, un chef d’orchestre bat la mesure au milieu de la voie lactée. Bien du travail pour mettre de l’ordre là-dedans…
Pour cette année, il nous propose une pièce peut-être un peu moins fine dans sa réalisation, mais qui reste dans la lignée de la précédente : l’exploration de notre cerveau. Ici, un chef d’orchestre bat la mesure au milieu de la voie lactée. Bien du travail pour mettre de l’ordre là-dedans…
