Après le 13ème, le 16ème et le 18ème arrondissement, notre portraitiste au marteau, burin et acide nous offre une nouvelle réalisation dans la capitale, dans le 11ème cette fois-ci.
Le résultat est toujours aussi surprenant : du mur décrépi, un visage surgit par la magie des creux et des bosses, des ombres et des lumières. Une technique unique à ma connaissance, que seul notre artiste portugais maîtrise. Ce portrait de femme – c’est rare, je ne lui connaissais que des portraits d’hommes – a été réalisé dans le cadre des nuits blanches 2013, début octobre. Il devrait rester en place un bon bout de temps, car la configuration de cette rue est inchangée depuis des lustres…
Le résultat est toujours aussi surprenant : du mur décrépi, un visage surgit par la magie des creux et des bosses, des ombres et des lumières. Une technique unique à ma connaissance, que seul notre artiste portugais maîtrise. Ce portrait de femme – c’est rare, je ne lui connaissais que des portraits d’hommes – a été réalisé dans le cadre des nuits blanches 2013, début octobre. Il devrait rester en place un bon bout de temps, car la configuration de cette rue est inchangée depuis des lustres…
