Exposition Personnelle à la galerie Itinerrance
Auteur : Inti
Date : Octobre 2023 - (photos prises en 10/2023)
Cette exposition personnelle d’Inti est la troisième que la galerie Itinerrance organise (13 octobre – 25 novembre 2023), la première ayant eu lieu dix ans auparavant, la seconde en 2018.
Autant dire qu’Inti ne vient pas à Paris trop souvent, et qu’il est indispensable de venir voir cette exposition pour suivre l’évolution de l’artiste.
On est accueilli par une belle fresque à l’extérieur de la galerie. Par rapport à l’exposition de 2018, le ton est plus optimiste, par la couleur jaune vif du fond, et puis surtout par les roses qui viennent en lieu et place des têtes de mort – quoiqu’il en reste quelques-unes disséminées ça-et-là.
A l’entrée, on retrouve ce tapis de roses jaunes, accompagné d’une citation de l’écrivain uruguayen Eduardo Galenao : « …A ce stade nous sommes tous païens, nous sommes tous poètes… ».
S’ensuit une déambulation dans le petit labyrinthe créé dans la galerie qui nous fait découvrir une bonne douzaine de grands tableaux d’Inti, pour aboutir dans un grand espace où l’on trouve une série de dessins préparatoires à des œuvres de l’artiste, ainsi que des œuvres de plus petit format.
Les grands tableaux vont par paire. Une jeune fille qui tient dans ses mains une fleur qui grandit, un arlequin assis dont la fleur qu’il tient à la main se fane, une femme qui d’un côté tient une bêche, de l’autre s’occupe de sa tresse… Le grand tableau dans le grand espace est dans le même esprit : la demoiselle de gauche échappe un cœur surmonté d’une fleur épanouie, celle de gauche tient un crane rempli de victuailles.
Une exposition pleine de symboles qui naviguent entre confiance et doute, mais toujours avec poésie.
Autant dire qu’Inti ne vient pas à Paris trop souvent, et qu’il est indispensable de venir voir cette exposition pour suivre l’évolution de l’artiste.
On est accueilli par une belle fresque à l’extérieur de la galerie. Par rapport à l’exposition de 2018, le ton est plus optimiste, par la couleur jaune vif du fond, et puis surtout par les roses qui viennent en lieu et place des têtes de mort – quoiqu’il en reste quelques-unes disséminées ça-et-là.
A l’entrée, on retrouve ce tapis de roses jaunes, accompagné d’une citation de l’écrivain uruguayen Eduardo Galenao : « …A ce stade nous sommes tous païens, nous sommes tous poètes… ».
S’ensuit une déambulation dans le petit labyrinthe créé dans la galerie qui nous fait découvrir une bonne douzaine de grands tableaux d’Inti, pour aboutir dans un grand espace où l’on trouve une série de dessins préparatoires à des œuvres de l’artiste, ainsi que des œuvres de plus petit format.
Les grands tableaux vont par paire. Une jeune fille qui tient dans ses mains une fleur qui grandit, un arlequin assis dont la fleur qu’il tient à la main se fane, une femme qui d’un côté tient une bêche, de l’autre s’occupe de sa tresse… Le grand tableau dans le grand espace est dans le même esprit : la demoiselle de gauche échappe un cœur surmonté d’une fleur épanouie, celle de gauche tient un crane rempli de victuailles.
Une exposition pleine de symboles qui naviguent entre confiance et doute, mais toujours avec poésie.
