L’une des façades de la cour intérieure est occupée par une énorme « bestiole » de Ludo.
Cette fresque est très représentative de ce que fait l’artiste d’habitude ; des créatures qui se situent entre le végétal et la robotique, moitié naturelles, moitié technologiques, et tout cela en utilisant presqu’exclusivement ses trois couleurs fétiches : le noir, le blanc et « son » vert. Il travaille le plus souvent par collage.