Rehab 2
Auteur : Softtwix
Date : Juin 2017 - (photos prises en 07/2017)
Softtwix
Site officiel
Cette œuvre fait partie de l’événement « Rehab 2 ». Elle se trouve au 3ème étage.
Sur cette porte battante, un portrait au regard pénétrant. J’aime beaucoup !
Ce portrait fait partie du projet « E.Doll » de la photographe Softtwix que je découvre ici. Cette photographe qui a longtemps travaillée pour la mode et la publicité à Paris, Londres et Milan s’est insallée à Paris comme photographe et se dédie à une démarche personnelle maintenant.
Son projet « E.Doll » démarré en 2014 se décline sous forme d’installations urbaines avec des visages de femmes sur fond noir, en format XXL, qui sont collées sur les murs dans la rue, dans des friches, ou sur des chantiers. « Mes E.Dolls dérangent, elles questionnent, interpellent. Chacun étant libre d’y projeter sa propre histoire… ». Les E.Dolls sont des femmes libérées… Elles sont toutes belles, mais elles portent les empreintes de leur vie sur leur visage. Elles nous racontent chacune une histoire, son histoire: la violence de l’existence, le poids de l’éducation, la folie des hommes, l’usure du temps…
Un superbe projet, un peu semblable à celui de JR, en mois grandiose et médiatique, en plus intime.
Sur cette porte battante, un portrait au regard pénétrant. J’aime beaucoup !
Ce portrait fait partie du projet « E.Doll » de la photographe Softtwix que je découvre ici. Cette photographe qui a longtemps travaillée pour la mode et la publicité à Paris, Londres et Milan s’est insallée à Paris comme photographe et se dédie à une démarche personnelle maintenant.
Son projet « E.Doll » démarré en 2014 se décline sous forme d’installations urbaines avec des visages de femmes sur fond noir, en format XXL, qui sont collées sur les murs dans la rue, dans des friches, ou sur des chantiers. « Mes E.Dolls dérangent, elles questionnent, interpellent. Chacun étant libre d’y projeter sa propre histoire… ». Les E.Dolls sont des femmes libérées… Elles sont toutes belles, mais elles portent les empreintes de leur vie sur leur visage. Elles nous racontent chacune une histoire, son histoire: la violence de l’existence, le poids de l’éducation, la folie des hommes, l’usure du temps…
Un superbe projet, un peu semblable à celui de JR, en mois grandiose et médiatique, en plus intime.
