Vhils a exposé à Paris du 23 juin au 28 juillet 2012 à la galerie Magda Danysz dans le 11ème. Voici le texte de la présentation de son exposition « Entropie » : « Le travail de VHILS révolutionne la technique du pochoir avec l’utilisation d’outils étonnants. A travers la destruction des murs, il explore les couches de l’espace urbain et son histoire. De vieux papiers, des affiches anciennes, des surfaces murales et des panneaux de bois sont attaqués au burin, au marteau-piqueur, à l’acide, ou aux explosifs, creusant d’immenses figures dans un jeu de clair obscur. Les portraits de Vhils soulignent un contraste fort entre le neuf et l’ancien en rendant visible les dessous des bâtiments. Il cherche ainsi à donner un autre visage au tissu urbain qu’il exploite comme un terrain d’inspirations populaires. » A l’occasion de ce passage à Paris, Vhils a inverti 5 murs de la capitale : 90 boulevard Vincent Auriol (13ème) - voir ICI 77 rue du Château des Rentiers (13ème) - voir ICI 11 rue Chardon-Lagache (16ème) Angle rue Pajol – rue Riquet (18ème) - voir ICI 85 rue Philippe Girard (18ème) - voir ICI Ce mur du 16ème arrondissement – plus exactement ces 2 piliers – se trouve dans l’enceinte de l’hôpital gériatrique Sainte-Périne-Rossini. L’œuvre se découvre en prenant un peu de recul, en restant dans le bon axe. Ce visage de personne âgée se fond dans le décor tant et si bien qu’il fait partie intégrante du paysage