Djerbahood 2014 - Amose
Amose
Site officiel
Amose est un artiste du Nord de la France. Il est né en 1979, il vit et travaille à Lille.
Passé par les Beaux-Arts, Amose est avant tout un dessinateur. Il tire son inspiration d’artistes comme Alberto Giacometti ou James Gallagher, de l’architecture et de la photographie d’avant-garde portée par certains brésiliens.
Amose travaille beaucoup sur le corps humain. Il le tend, le déforme, et le reconstruit par addition de formes de couleurs. Les courbes sont harmonieuses, les formes sont colorées par un savant mélange dans lequel il ne manque pas une couleur.
« Dans ce village, il n’y a pas de murs hauts, ce qui est très agréable d’ailleurs et, comme j’aime bien peindre en grand, j’ai travaillé sur un personnage allongé. Pour cela, sur la place d’un marché qui a lieu le week-end, j’ai trouvé un mur, un grand mur de 15 mètres sur 3 avec beaucoup de recul, ce qui n’est pas très fréquent dans ce petit village aux ruelles étroites. En plus, le fait que ce soit un marché, donc un lieu de passage et de vie, m’intéressait.
…. Au départ, j’avais peur de la réaction des habitants, qu’on dénature leur village… Mais finalement ils ont tous manifesté une grande fierté que cet événement se passe dans leur village. »
(Extraits du livre Djerbahood)
Passé par les Beaux-Arts, Amose est avant tout un dessinateur. Il tire son inspiration d’artistes comme Alberto Giacometti ou James Gallagher, de l’architecture et de la photographie d’avant-garde portée par certains brésiliens.
Amose travaille beaucoup sur le corps humain. Il le tend, le déforme, et le reconstruit par addition de formes de couleurs. Les courbes sont harmonieuses, les formes sont colorées par un savant mélange dans lequel il ne manque pas une couleur.
« Dans ce village, il n’y a pas de murs hauts, ce qui est très agréable d’ailleurs et, comme j’aime bien peindre en grand, j’ai travaillé sur un personnage allongé. Pour cela, sur la place d’un marché qui a lieu le week-end, j’ai trouvé un mur, un grand mur de 15 mètres sur 3 avec beaucoup de recul, ce qui n’est pas très fréquent dans ce petit village aux ruelles étroites. En plus, le fait que ce soit un marché, donc un lieu de passage et de vie, m’intéressait.
…. Au départ, j’avais peur de la réaction des habitants, qu’on dénature leur village… Mais finalement ils ont tous manifesté une grande fierté que cet événement se passe dans leur village. »
(Extraits du livre Djerbahood)
