Cette fresque est issue de l’édition 2019 du festival « Sorry not Sorry » de Gand
On la doit à un artiste belge que je découvre ici, Philip Bosmans. Philip Bosmans se plonge dans un monde surréaliste dans lequel il projette nos rêves ou nos chagrins qui permettent au spectateur de s’évader du quotidien.
L’oiseau qu’il nous présente ici est blessé de toutes parts, mais il suffit qu’il retrouve des ailes pour prendre un nouvel envol.
Une belle allégorie qui nous pousse à l’optimisme.