Regards d'enfants
Auteur : Seth - Mono Gonzalez
Date : 2011 (photos prises en 07/2013)
Mono Gonzalez
Cette fresque est une œuvre de mémoire pour ce 11 septembre 1973, sombre jour où le gouvernement démocratiquement élu de Salvador Allende fut renversé par un coup d’état militaire qui conduira à la dictature de Pinochet – le « 11 septembre oublié ».
C’est le centre culturel chilien de Liège qui est à l’initiative de cette réalisation. L’artiste chilien s’est inspiré des dessins réalisés par les enfants de la ville pour réaliser cette fresque sur plus de 100 mètres de mur. Il en traça les contours, puis il fit appel à « qui veut » pour venir mettre de la couleur dans cette œuvre symbolique. Un résultat étonnant haut en couleurs.
Aux deux extrémités de la fresque, deux portrait d’enfants signés Seth. Pourquoi, comment est-il venu là ?? Je n’ai pas la réponse. Toujours est-il que c’est probablement grâce de cette collaboration que Julien invita 2 ans plus tard Mano à Fleury-les-Aubrais pour y réaliser l’une des 10 fresques du festival Cheminance.
Dans ses « temps creux », Julien a dû vadrouiller en ville avec ses bombes en poches. A 50 mètres de la fresque, je suis tombé sur une petite fille caractéristique de l’artiste. Si j’avais recherché un peu plus, pas de doute que d’autres petits personnages doivent égailler la cité.
C’est le centre culturel chilien de Liège qui est à l’initiative de cette réalisation. L’artiste chilien s’est inspiré des dessins réalisés par les enfants de la ville pour réaliser cette fresque sur plus de 100 mètres de mur. Il en traça les contours, puis il fit appel à « qui veut » pour venir mettre de la couleur dans cette œuvre symbolique. Un résultat étonnant haut en couleurs.
Aux deux extrémités de la fresque, deux portrait d’enfants signés Seth. Pourquoi, comment est-il venu là ?? Je n’ai pas la réponse. Toujours est-il que c’est probablement grâce de cette collaboration que Julien invita 2 ans plus tard Mano à Fleury-les-Aubrais pour y réaliser l’une des 10 fresques du festival Cheminance.
Dans ses « temps creux », Julien a dû vadrouiller en ville avec ses bombes en poches. A 50 mètres de la fresque, je suis tombé sur une petite fille caractéristique de l’artiste. Si j’avais recherché un peu plus, pas de doute que d’autres petits personnages doivent égailler la cité.
