C215 reprend ici un thème qu’il avait créé en 2012 à l’hôpital de la Salpêtrière (voir ICI). Son œuvre parisienne avait été gravée sur du métal, métal qui s’est progressivement transformé avec l’oxydation du support – un effet souhaité par l’artiste. Celle de Roubaix utilise tout simplement de la peinture, une peinture qui se dégradera avec le temps (là ce n’est pas souhaité), mais qui reste en très bon état quatre ans après sa création. C’est bon de retourner aux sources !