Da Cruz est un enfant du 19ème, il aime son quartier. Il avait déjà dit en 2014 sa nostalgie pour un quartier populaire qui se transformait en quartier bobo à plus de 10.000 euros le m² (voir ICI). Au même endroit, il renouvelle son message utopique, utopique car il y a bien peu de chance que la tendance ne s’inverse…